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Le potager ne se cantonne plus aux grands jardins. Sur un balcon, dans une jardinière, partagé ou connecté, il a évolué pour s'imposer partout.
Tous les jardins ont désormais leur petit potager ! Il suffit d’ailleurs d’un rebord de fenêtre ou d’un balcon pour cultiver « le » pied de tomate ou de basilic ! En moins de deux générations, l’image du potager de Grand’papa, armé de son pulvérisateur et de sa bêche, s’est offert un sérieux lifting, laissant la place à un jardinage plus créatif et plus écologique, à la recherche de saveurs nouvelles, avec évidemment en prime, la promesse de légumes plus sains et plus bio !
Urbain, connecté, d’intérieur, à louer ? À chacun son potager ! Quiconque peut y trouver son bonheur et satisfaire au moins en partie son besoin d’auto consommation. Et vous, lequel choisirez-vous ?
Destiné à alimenter toute la famille, il devra faire au moins 100 m². Il reste très présent, même si ce n’est plus la seule alternative et qu’il a beaucoup changé. Les nouveaux potagers offrent en effet bien plus de liberté avec des légumes plus variés et un look bien moins austère, coloré et fleuri.
Si vous disposez d’un petit espace ou d’un simple balcon, installez un potager en carré. Déco et productif, ce concept vous étonnera ! Vous pouvez aussi opter pour un potager suspendu sur votre balcon…
Pour ceux qui n’ont pas d’espace suffisant, il est toujours possible de se faire plaisir avec une jardinière fleurie avec quelques aromatiques et des mini légumes.
Et pour tous les urbains que le potager démange vraiment, il est possible de postuler auprès des jardins familiaux ou de convaincre ses voisins d’installer un jardin partagé au pied de son immeuble… En plus, contrairement à hier, les légumes ne se cachent plus ! Mieux encore ils prennent parfois racine au milieu des plates-bandes. Il était temps de s’apercevoir de la beauté d’une fleur artichaut ou de chicorée !
Dans tous les cas, la pratique du potager en permaculture se généralise. Elle permet de s’affranchir des sols difficiles et des opérations fastidieuses de bêchage et d’amélioration du sol, puisque ce sont les vers de terre qui travaillent à votre place et qui renouvellent et enrichissent le sol.
Guylaine Goulfier, journaliste et auteur est aussi expert en permaculture. Elle anime la page Mon potager en carrés.
Guylaine Goulfier :« La plus grande évolution dans le potager a été une certaine forme de lâcher-prise. C’est d’autant plus facile que les nouveaux jardiniers n’ont aucune connaissance puisqu’il y a eu une rupture dans la transmission. Ils acceptent de ne pas tout contrôler ou maitriser. Par exemple, ils comprennent vite qu’il n’y a pas d’herbe vraiment mauvaise. Pour eux, il n’y a pas d’autre choix possible que la culture bio ou la permaculture qui l’englobe. Ils acceptent assez vite le fait de pailler et de ne pas travailler le sol. Par contre, ils sont tous très connectés et échangent beaucoup. »
G.G : « Pour les nouveaux jardiniers, le potager représente un rêve un peu fantasmé d’autosuffisance. Tous sont en recherche d’autonomie et d’économie de temps ou de travail. Ils sont très sensibles à l’idée du zéro gaspi, de la récupération, du recyclage des déchets… Ils veulent faire par eux-mêmes, leur terreau, leurs graines et se détournent un peu des circuits classiques. L’idée qu’on doit jardiner avec la nature les conforte dans cette tendance.
Il faut ensuite que chacun se confronte à la réalité, fasse ses expériences et réajuste un peu les objectifs ! »